NOn on ce dit pas que ça mais la c'était un exemple attend je vais te donne un autre exemple:
Shima dit:
C'était le début de l'après-midi, et Shima avait décidé de se reposer dans un des nombreux parcs de New York. Elle flana longuement avec les passants le long des petits chemins de terre, les comparant soudainement et sans savoir pourquoi au chemin de sa vie qui était comme eux, sale, misérable, monotone, ennuyeux...
Lasse de marcher, la jeune fille s'arrêta sur un banc, face au point d'eau spécial canards, et regarda la lumière filtrer entre les feuilles qui bougeaient au gré du vent. Elle soupira tout en fermant les yeux. Elle en avait assez, mais elle ne savait pas de quoi, et cela la poussait à la limite du pétage de plomb. Elle aurait tant voulu partir et quitter New York, car elle haïssait cette ville. Mais sans raison.
*Peut-être parce que c'est là que mes parents sont morts...*
Shima ouvrit les yeux en entendant le bruits des canards se disputant un morceau de pain jeté par une personne qui les regardait passivement, amusée du spectacle...
*Les hommes sont comme eux, prêts à tout pour avoir le plus gros bout, au détriment des autres qu'ils n'hésitent pas à blesser, voir à tuer !*
Agacée, la jeune fille chercha à poser son regard ailleurs. Une vieille femme arrivait tranquillement avec son petit caniche blanc. En voyant un horrible bonnet rose bonbon en laine trôner sur sa tête, une envie de vomir saisie aussitôt Shima qui se contint comme elle le pu. Malheureusement, la vieille femme s'installa juste à côté d'elle, son chien sur les genoux. En remarqua sa présence, celui-ci se mit à pousser des aboiements suraigües. Shima fut au comble de l'exaspération lorsque la vieille dame voulut entamer sa conversation :
"Oh, voyons Bibi, calme-toi. Cette jeune fille a pourtant l'air adorable ! Au fait, comment vous appelez vous, ma grande ?"
Shima éprouva une vive envire de l'étrangler. Elle n'apréçait particulièrement pas le "ma grande" qu'avait dit la vieille femme.
"Je suis Shima Miller." répondit-elle à contre coeur.
*Lâche-moi les baskets !*
Shima baissa les yeux et vit qu'elle ne portait pas de baskets.
"C'est un nom magnifique ! Moi je m'appelle Gertude, et lui c'est Bibi."
Elle désignait le petit chien qui avait tourné la tête en direction des canards et commençait à tirer sur sa laisse pour sauter dans la mare.
*Gertrude... Le nom typique des vieilles ! Et Bibi... Le nom typique des petit caniches des vieilles !*
"Quel âge avez-vous ?"
Shima se mordilla les lèvres pour se contenir.
"Dix-sept ans."
*Ne me dit pas ton âge où je vais faire une crise cardiaque !*
"Dix-sept ans ! C'est la belle époque ! Vous ne savez pas quelle chance vous avez, vous les jeunes, d'avoir dix-sept ans... J'ai de très bon souvenir de mes dix-sept ans. C'est l'âge où j'ai connu mon mari."
Shima vit une petite lumière triste s'allumer dans ses yeux.
"Il... Il est mort l'an dernier..."
La vieille femme la regarda avec insistance, et Shima comprit qu'elle attendait ses condoléances.
"Oh... Je suis désolée..." dit-elle sur un ton qui signifiait tout le contraire.
Mais son interlocutrice ne semblait pas remarquer l'air presque agressif de la jeune fille. Satisfaite, elle poursuivit :
"Mais non... Mais non... Ce n'est rien... Tenez, voici une photo de notre 80ème anniversaire de mariage."
*80ème anniversaire ! Mais elle date de l'Antiquité ou quoi !*
Heureusement pour elle, la vieille femme, en fouyant son sac, tomba sur
une petite montre dorée. En la regardant, elle poussa une exclamation
catastrophée :
"Ciel ! Il est déjà trois heures ! Ma chère, j'ai été ravie de vous recontrer..."
*Pas moi !*
"... Mais je dois m'en aller. J'ai un rendez-vous urgent. Bibi, mon chou, tu viens on s'en va !"
Elle se leva lentement (trop lentement pour Shima) en disant :
"Au revoir ma chère. J'espère vous rencontrer à nouveau !"
*Pas moi !*
"Au revoir, madame..."
"Bonne journée."
"Oui, bonne journée..."
*Elle part oui ou non ?*
A son grand soulagement, la vieille dame se détourna, Bibi à côté d'elle, et poursuivit sa route. Elle ne pu voir, derière elle, la jeune fille soupirer et sourire, heureuse d'être à nouveau tranquille...
MOi je dit:
En début d'après-midi, Claire Bennet, une jeune fille de dix-huit ans, allait se promener dans le parc puis elle décida de s'assoir sur un banc, des canards dans une marre nageaient tranquillement. Un peu plus tard elle ne savait plus quoi faire elle s'ennuyait à en mourir elle décida donc d'aller acheter une glace chez le marchand de glace. Plus tard une jeune fille s'installa en face d'elle sur un banc elle n'avais pas l'air d'aller très bien. Une grand-mère s'assit à côté d'elle avec un petit caniche tout laid qui aboyait pour un rien, Claire se demandait même pourquoi cette jeune fille ne partait pas ? Elle avais l'air dans avoir très marre de cette grand-mère elle n'arrêtait pas de lui parler elle ignorait ce qu'elles se disaient mais ça n'avait pas l'air d'être très bien vu comment était sa tête.
Le petit chien alla près des canards tout le monde se doutait bien pourquoi mais personne était vraiment très sûr car la grand-mère ne lui disait rien alors bon. Un peu de temps après la grand-mère partit avec son petit chien. Claire avait fini sa glace depuis très peu de temps, elle était très bonne et elle voulait en prendre une autre mais le marchand de glace était déjà parti et la jeune fille n'avait aucune envie de lui courir après rien que pour une glace. La jeune fille avait l'air de être plus tranquille et surtout plus contente de savoir que plus personne ne pouvait la déranger, Claire avait envie d'aller la voir mais elle préférait ne pas y aller au cas où elle ne supportait pas d'être avec une personne ou ne pas avoir envie d'être dérangée. Quelques oiseaux chantaient une très douce mélodie et un grand-père disait :
"Il faut profiter de la vie car nous les vieux sommes très tristes de savoir que un jour nous ne entendrons plus les oiseaux chanter leur mélodie et plein d'autres choses encore c'est pour ça que les vieux vont souvent dans les parcs. "
Ca faisait réfléchir Claire, et pourtant elle s'en fichait car elle avait d'autres choses à faire que de penser à mourir. Puis le vieux parti, et les deux jeunes filles étaient toutes seules dans le parc.
Meiryou dit:
Et comme si s'était une maladie très contagieuse, Meiryou aussi s'ennuyait à mourir ! Et pourtant Dieu sait qu'elle a beaucoup de choses à faire ! Mei devait finir d'aménager son appartement et puis le plus important : retrouver les héros... Bref, elle n'avait aucune excuse pour se retrouver dans le parc à cette heure-ci à s'ennuyer.
Enfin, Mei se promenait quand même dans ce magnifique endroit de plainitude. Soudain, elle aperçut une jeune fille blonde sur un banc. Une fille qui lui semblait famillière... Mei se stoppa net pour observer un peu cette fille. Finalement, elle reconnu la fille de ses illusions. Ne sachant pas trop si elle devait tout lui dire, elle préféra avancer par prudence vers Claire puis une fois à sa hauteur, elle lui dit avec un sourire :
- Salut ! Moi c'est Meiryou et toi ?
Mei n'avait pas trop le choix, il lui fallait avancer vers les gens au risque de s'appercevoir qu'ils ne sont pas ceux qu'elle cherche. Elle a tellement l'espoir d'un jour tout comprendre bien comme il le faut ! L'explosion et les exploits d'Hiro, elle ne les avait vu qu'en rêve. Il lui fallait une bonne actualisation !
shima dit:
Après le départ de la vieille femme, Shima resta encore environ un quart d'heure assise sur le banc. Puis elle eut envie de se dégourdir les jambes et se leva. En se redressant, elle aperçu deux jeunes filles derrière elle, en train de discuter.
*Depuis quand elles sont là ?*
Intriguée, Shima les regarda un instant. Elles ne devaient pas parler depuis longtemps, puisque l'une d'entre elles, visiblement japonaise ou chinoise, se tenait debout tandis que l'autre était assise. Elle entendit l'Asiatique se présenter sous le nom de Meiryou...
*C'est quoi ce prénom imprononçable ? Ses parents n'avaient pas de meilleure idée ?*
La jeune fille réfléchit aux noms asiatiques qu'elle connaissaient, mais elle ne s'en souvient d'aucun, ils étaient tellement compliqués...
*Mais peut-être pas autant que le sien !*
Avec un soupir, la jeune fille suivit le petit chemin du parc, celui qu'elle avait comparé quelques minutes plutôt à sa vie, et se promena pour se dégourdir les jambes. Elle s'approcha de la grille d'entrée, ne sachant si elle voulait partir où non. Le bruit et l'odeur de la circulation ne lui plaisait pas beaucoup, même si le temps qu'elle passait dans la rue semblait pouver le contraire...
moi je dit:
Plus tard une autre jeune fille entra dans le parc. Claire se demandait qui ça pouvait être elle avait un visage famillier. La jeune fille s'approcha de Claire, elle commença à lui poser une question. Claire lui répondit:
"Moi c'est Claire. Veux-tu rester un peu avec moi ? "
Claire ne savait pas quoi dire d'autre que ça. Elle se posait plein de
questions dans sa tête et en plus elle avait faim donc elle décide de prendre son sac, elle y sortie une pomme bien rouge et, au passage, par gentillesse, elle en profita pour en proposer une à Meiryou:
"Veux-tu manger une pomme ? "
Claire se demandait si elle avait assez d'un goûter pour deux.
meiryou dit:
Lorsque la jeune fille se présenta, il y eut comme un sorte de petit flash dans la tête de Meiryou. Un deuxième. Puis Claire lui proposa une pomme. Mais Mei était ailleurs... Elle voyait Claire et les autres. Plus une autre fille qu'elle semblait avoir apercut vite fait dans le parc. C'était comme si cette dernière participait à la vision provoquée par Mei. Pourtant, Mei ne la visait pas. Elle ne visait personne, même pas elle mais bon ça ça lui arrivait souvent.
Bref, pendant trentes secondes, Claire dut voir Meiryou figée. Mei sorti de son illusion puis s'assit sur le banc. Au début elle n'avait pas faim mais là, son estomac s'était très vite creusé !
- Ouais j'veux bien.
Déclara-t-elle au sujet de la pomme que lui proposait la jolie blonde.
ainsi de suite on essaye de crée une histoire
Jeu 7 Aoû - 11:24
